Niger, voyage humanitaire pour la Mairie de Conflans Sainte Honorine.
Photos"Regards sur le NIGER" est une série de photographies en noir et blanc réalisées en 1999 lors d’un relais de l’amitié entre deux villes, Conflans Sainte Honorine (FRANCE) et Tessaoua (NIGER).
LE RELAIS DE L’AMITIÉ
L’initiative était symbolique. Elle a été relayée et soutenue par l’AJCT (Association pour le jumelage entre Conflans et Tessaoua), présidée par Eric VILLAUDIERE, ainsi que la ville de Conflans, les Amis des Berges, le Conseil Général et la Poste.
Son objectif consistait à relier en courant jour et nuit Conflans Sainte Honorine à Roissy, puis après un passage obligé par l’avion, la capitale Niamey à Tessaoua, soit 850 km parcourus en 3 jours et demi par une dizaine de participants.
A leur arrivée, les conflanais ont remis la clé de la ville à M. le Maire de Tessaoua en signe d’amitié.
LES PHOTOGRAPHIES
Mes images ont été prises au fil de la route entre ces deux villes. Elles dévoilent la vie quotidienne des habitants des villages du NIGER. Elles invitent à la découverte de ce pays méconnu.
J’affectionne tout particulièrement ces images car elles me remémorent un doux souvenir, celui de mon premier reportage photographique.
Je réalisais alors mes propres tirages en labo argentique, et mes photographies ont d’ailleurs conservé le passage du sable sur la gélatine.
LE RELAIS DE L’AMITIÉ
L’initiative était symbolique. Elle a été relayée et soutenue par l’AJCT (Association pour le jumelage entre Conflans et Tessaoua), présidée par Eric VILLAUDIERE, ainsi que la ville de Conflans, les Amis des Berges, le Conseil Général et la Poste.
Son objectif consistait à relier en courant jour et nuit Conflans Sainte Honorine à Roissy, puis après un passage obligé par l’avion, la capitale Niamey à Tessaoua, soit 850 km parcourus en 3 jours et demi par une dizaine de participants.
A leur arrivée, les conflanais ont remis la clé de la ville à M. le Maire de Tessaoua en signe d’amitié.
LES PHOTOGRAPHIES
Mes images ont été prises au fil de la route entre ces deux villes. Elles dévoilent la vie quotidienne des habitants des villages du NIGER. Elles invitent à la découverte de ce pays méconnu.
J’affectionne tout particulièrement ces images car elles me remémorent un doux souvenir, celui de mon premier reportage photographique.
Je réalisais alors mes propres tirages en labo argentique, et mes photographies ont d’ailleurs conservé le passage du sable sur la gélatine.